Par Sylvain BERRIOS – 77 ans après la guerre frappe à nouveau aux portes de l’Europe. Rappelons-nous qu’à la source de l’inhumanité de la seconde guerre mondiale, il y avait le nationalisme, l’antisémitisme et le populisme.
Le destin n’est pas une page blanche, il s’écrit à l’encre de la mémoire et de l’histoire.
En ce 8 mai, « Ce que nos morts attendent de nous, ce n’est pas un sanglot, mais un élan » écrivait Pierre Brossolette. Un élan pour un monde libre, en paix et plus juste.