• 26 avril 2024

Campagne déloyale : c’est Saint-Maur que l’on insulte

Présentation1Par Sylvain Berrios – Dans quelques heures, la campagne municipale s’achèvera et nous serons appelés à élire un nouveau Maire.

Au cours de cette campagne, j’ai choisi de vous présenter ma candidature, de définir les grands enjeux pour les 6 ans à venir et notamment ceux de l’assainissement des finances locales et de la Métropole du Grand Paris que le Gouvernement tente d’imposer aux communes. Je vous ai proposé un projet réaliste qui prépare l’avenir et préserve Saint-Maur. J’ai rassemblé à mes côtés une équipe municipale expérimentée, compétente et renouvelée.

Ma conception de la politique et les valeurs qui m’ont été transmises par mes parents, m’ont conduit à privilégier une campagne électorale digne, concentrée sur mon projet. J’ai poursuivi un dialogue constructif avec les Saint-Mauriens, que j’ai rencontrés au cours de 50 ateliers thématiques et de 8 réunions publiques, avant la présentation officielle de ma liste, qui a réuni plus de 700 personnes dans la salle des fêtes de la Mairie.

Hélas, depuis plusieurs semaines, une campagne ignoble, faite de tracts anonymes, de pressions sur mes colistiers et de menaces explicites à l’encontre de mon épouse et de mes enfants a été délibérément orchestrée par certains de mes adversaires.

Ceux-là même qui ont échoué dans la mission qui leur avait été confiée par les Saint-Mauriens considèrent aujourd’hui que la Mairie leur appartient. Préoccupés par des sondages qui leur sont défavorables, inquiets pour leur devenir personnel, ils ont choisi de jeter le discrédit sur ma campagne en créant et en alimentant un climat délétère dont même l’hebdomadaire l’Express s’est récemment fait l’écho.

Je ne me suis pas engagé pour ça ! Et je suis convaincu que Saint-Maur ne mérite pas la médiocrité et l’indignité du débat dans lequel certains voudraient nous enfermer.

Les faits sont graves, au point que j’ai décidé de saisir la justice : un juge d’instruction a été nommé le 21 février dernier. Mais je refuse que ce scrutin se joue devant les tribunaux : ce n’est pas ma conception de la démocratie. Une élection municipale, c’est d’abord un dialogue et un échange directs entre les habitants et celui ou celle qu’ils choisiront d’élire Maire.

Je n’ai rien à reprocher à la plupart de mes adversaires qui tentent, comme moi, de mener une campagne digne. Mais ceux qui ont choisi de rabaisser la politique au niveau du caniveau se trompent de méthode : la politique ne donne pas tous les droit. La réalité c’est que j’ai reçu l’investiture de l’UMP pour ces élections et que je mène une belle campagne de terrain. A court d’arguments, certains ont pris le parti de me salir ; mais en ternissant délibérément la qualité de la campagne, c’est Saint-Maur qu’ils privent d’un débat indispensable pour son avenir.

Ensemble, préparons l’avenir !

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* Famille et colistiers menacés, tracts diffamatoires distribués «par la mairie» : l’instruction judiciaire
est en cours.

Le 6 mars dernier, deux jeunes ont été arrêtés par la police à la gare RER de La Varenne : munis d’un caddy, ils distribuaient des tracts anonymes diffamatoires contre le candidat UMP à l’élection municipale, Sylvain Berrios. Lors de leur interpellation, les jeunes ont indiqué «avoir été payés par la mairie». L’enquête est en cours. Elle fait suite à des tentatives d’intimidation et de pressions hiérarchiques à l’encontre de colistiers de Sylvain Berrios, et à des menaces explicites ciblant son épouse et ses deux enfants ayant fait l’objet d’une première plainte et d’une demande de protection au Préfet. Relayés par les équipes de campagne de deux candidats lors d’échanges avec des Saint-Mauriens sur la voie publique, des propos gravement diffamatoires contre Sylvain Berrios ont fait l’objet de témoignages écrits qui seront versés au dossier judiciaire.

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